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Chez Oriol-Art nos productions picturales sont construites à partir de « défis picturaux », liés à l’essence même de la peinture, et de structures mathématiques et algorithmiques.
Cette approche créative donne naissance à des œuvres d'art que l’on peut classer dans la filiation de l’art « géométrique abstrait ». Elles peuvent être fascinantes dans le dépassement des frontières culturelles et artistiques, mais également dans la résonance entre ces domaines.
Au-delà de la réponse émotionnelle, elles incitent le spectateur à mieux comprendre les concepts sous-jacents.
"Carré blanc sur fond blanc 1/26". Jean-Claude Oriol, 1991
Jean-Claude Oriol a commencé ses productions artistiques dans les années 1980.
Il a été très impressionné par l'art de MC Escher et en particulier par les remplissages périodiques du plan et le lien avec les dix-sept groupes d’isométries planes, concept sur lequel il travaillait en mathématiques.
La plupart des artistes abstraits ont nourri ses réflexions en particulier Kazimir Malevitch, Piet Mondrian, François Morellet, Yves Klein, Albert Ayme ainsi que d’autres artistes aux parcours divers et variés et aux productions plus ou moins lointaines dans le temps et dans leurs styles.
Mathématicien de formation, il est naturellement attiré par l’abstraction. Mais il propose à chaque production une réponse à un défi pictural. L’ensemble de son œuvre est d’ailleurs traversé par un fil conducteur ayant pour thème principal la frontière.
C'est évidemment le cas de la série « Carrés Blancs », et c’est également le cas de la série « Carré Magique », qui garantit une addition tonale « magique ». Ces deux séries s’inscrivent dans la connivence avec les littératures « à contraintes » que l’on trouve par exemple dans les œuvres de Georges Perec., écrivain connu personnellement par l’artiste.
Il a exposé en 2001 à la GALLERIA SPAZIO VISIVO à Rome lors de l’exposition « grafica ».
La série « Carrés Magiques » exploite les propriétés des carrés magiques et les applique à des carrés de couleur. Cela donne lieu à diverses combinaisons : niveaux de gris, spectre global, tons spécifiques… Les résultats sont souvent fascinants pour le spectateur, car ils dégagent une impression d'équilibre intrinsèque, sans symétrie.
A partir du défi de Malevitch « Carré blanc sur fond blanc », cet ensemble intitulé « 26 carrés blancs sur fonds blancs » a été décrit dans ouvrage de « Mathématiques et Art » et lors d'une conférence dès 1991. Il a donné lieu à diverses variations en couleurs dont certaines ont été exposées à la GALLERIA SPATIO VISIVO à Rome.
Avec la généralisation des ordinateurs et la mise à disposition des unités de traitement d'images pour les artistes, cette série explore la déformation des carrés jusqu'à ce qu'ils ne soient plus carrés. Avec l'avènement de l'IA et des classificateurs, ce sujet reste d'actualité, car les carrés deviennent rapidement ronds : une nouvelle v
Avec la généralisation des ordinateurs et la mise à disposition des unités de traitement d'images pour les artistes, cette série explore la déformation des carrés jusqu'à ce qu'ils ne soient plus carrés. Avec l'avènement de l'IA et des classificateurs, ce sujet reste d'actualité, car les carrés deviennent rapidement ronds : une nouvelle variante du classique « problème de la quadrature du cercle ».
Manuel Oriol a grandi dans un environnement où les écrivains, poètes, peintres et artistes en général étaient toujours les bienvenus. Il s'efforçait toujours de comprendre comment ils exerçaient leur art et ce qu'il pouvait en tirer. Ses vastes connaissances en informatique et son approche de l'art le placent à l'avant-garde du mouvement.
Dans la série « Tri », l'approche de Manuel s'oppose à celle des artistes numériques habituels : au lieu d'utiliser ou de créer des algorithmes pour générer des images voulues, il crée une représentation artistique abstraite de l'état interne de ces algorithmes. Les œuvres qui en résultent sont naturellement équilibrées et dégagent la certitude que leur construction est régie par une finalité supérieure, mais explicable.
Dans la série « Il n'y a pas de… », Manuel expérimente les règles des contrastes simultanés présentées il y a 200 ans par Eugène Chevreul. Son objectif est d'utiliser ces règles pour créer, dans l'œil du spectateur, des couleurs qui ne sont ni imprimées sur papier ni visibles à l'écran.
Cette série réutilise le tri à bulles pour illustrer l'évolution de la structure des données au fil du temps, sous forme de couleurs. Notez les diagonales caractéristiques de l'évolution de la position des éléments trop à droite.
Cette série réutilise le tri par sélection et illustre l'évolution de la structure des données au fil du temps sous forme de couleurs. Notez le triangle parfait en bas, caractéristique de l'algorithme, qui trouve toujours l'élément le plus élevé et le place au début.
Cette série utilise le tri rapide pour illustrer l'évolution de la structure des données au fil du temps, sous forme de couleurs. Notez l'aspect fuyant qui correspond au placement correct de l'élément choisi, puis au tri de chaque côté.
Cette série réutilise le tri par fusion et illustre l'évolution de la structure des données au fil du temps. Notez l'aspect architectural dû à la construction progressive de l'ordre approprié, puis à sa fusion.
Lorsque les couleurs sont juxtaposées, le cerveau crée des couleurs inexistantes pour créer le contraste qui nous permet de distinguer les formes. Nous utilisons ce mécanisme pour créer des couleurs à partir de rien. En violation de la vieille citation de Lavoisier : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. »
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